Quand un milliardaire, magnat des médias, sort l'artillerie lourde pour pourfendre l'agenda de "l'élite", on sait que ce n'est pas en France ou en Europe. Alors pour boire du petit-lait il faut aller jusqu'en Thaïlande, ce pays magnifique.
Fatigué par six ans d'instabilité politique, il monte au créneau pour barrer la route à l'hégémonie mondialiste.
Les politiques, les organismes internationaux, les grands groupes et les méga-banques se font laminer. Une mise à nue de ce qui se dit généralement à mots (très) couverts de peur de passer pour conspirationniste.
Sondhi, pour sa part, a déjà survécu à une tentative d'assassinat. En avril 2009, des hommes armés ont pulvérisé son véhicule en plein jour, avec plus d'une centaine de balles. Une balle a effleuré sa tête, mais il a finalement survécu à l'épreuve. Sans doute il y aura beaucoup de mécontents de sa présentation la plus récente et approfondie exposant les tentacules des 0,1% de Wall Street qui font leur chemin vers la Thaïlande en utilisant le camouflage des «droits humains», «démocratie» et «liberté de parole» pour masquer leur véritable intention. Le camouflage est décidément moins efficace quand on sait ce qu'il faut chercher. Un prédateur ou un parasite sera beaucoup moins efficace dans un environnement de vigilance éclairée. (Traduit avec Google)
A quand notre milliardaire français courageux, et surtout honnête!
A revoir : L'élite mondiale dissimule 18 000 milliards de dollars dans les paradis fiscaux et La World Company, l'hydre à 147 têtes
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