Voici un extrait de "Gog" un roman de Giovanni Papini (1881-1956) publié en 1931.
Gog, "un monstre", qui a fait fortune dans le Chicago des années 1920, remet à l'auteur son manuscrit:
« Les chambres continuent à légiférer, librement en apparence ; les citoyens s'imaginent toujours que la République est autonome et indépendante et que le cours des choses dépend de leur volonté. Ils ne savent pas que tout ce qu'ils ont l'illusion de posséder [...] dépend, en dernier ressort, d'un étranger qui leur est inconnu, c'est-à-dire moi. »
Dans des circonstances plus récentes, certains hommes politiques ont parlé, à propos de notre parlement, de théâtre d'ombres. Pertinent.
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mercredi 2 mars 2011
Théâtre d'ombres
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