« En matière de séismes, dans les centrales, on regarde celui qui a été le plus grave sur les mille dernières années. On prend en considération l'échelle MSK, et non celle de Richter. Cela permet de raisonner en terme de dégâts et d'explorer des données historiques. Les moines notaient cela quand un toit d'église s'effondrait, etc., explique Thierry Schall. Ici, le séisme de référence est celui de Langeais en 1706. »
A la centrale de Chinon un risque sismique de 6,3. Source
C'est drôle comme différence, à un dixième d'unité près ce qui s'est passé à Fukushima.
Comme l'échelle de Richter est logarithmique, cela veut dire une intensité plus de 10 fois plus forte que ce qui est prévu.
Et, au fait, pourquoi avoir choisi Langeais plutôt que ? Il est vrai qu'utiliser MSK embrouille bien les esprits.
Erreur historique? petites économies?
Pendant ce temps-là, en Allemagne, on rêve de Fessenheim. Les alsaciens semblent très confiants.
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