mardi 15 mars 2011

Satan, le Maître du monde - 5


Dernier volet de la série. De l'éducation et des élites.

Page 230-231 : « […] Les idées ne manquent pas pour pervertir les
écoliers, les collégiens et les étudiants. Nos meilleurs agents spécialistes
dans les sciences de l’éducation sont continuellement à pied d’œuvre pour
réformer, innover l’Education et l’Enseignement de la populace qui doivent
rester, pour la forme, superficiels !
Nous supervisons toutes les innombrables Universités, Instituts ou Écoles que
nous avons crée pour les rejetons les moins stupides des populations que nous
administrons. En parallèle, nous avons érigé en quantité très réduite des
établissements prestigieux, mais cette fois uniquement pour les enfants de la
classe privilégiée, nos plus fervents adeptes. Ces derniers, nous les avons
placés en position dominante car ils sont dépositaires de nos valeurs, des
valeurs de l’Iblisme. Cela va sans dire que la sélection est draconienne pour
le recrutement des enseignants et pour le choix des étudiants. L’élitisme
iblisien se définit par des critères juridiques, comme l’ordre de la «
noblesse », ou économiques, comme la classe bourgeoise !  
Certes, nos adeptes à qui nous allons confier des responsabilités au sein de
notre Système ont toujours constitué un objet de recherche privilégié. Quel
meilleur moyen que de constituer un vivier, soit pour le renouvellement de nos
agents soit pour de nouvelles fonctions dans ce monde que nous voulons en
perpétuel mouvement !  
Quel que soit leur origine ethnique, les leaders politiques, les chefs
d’Etat, les Ministres, les hauts fonctionnaires d’Etat, les chefs des
Armées, les scientifiques de renom, les financiers, les banquiers, etc.
constituent déjà l’assise sur laquelle nous avons édifié le Régib. Dès
lors, nous avons repensé au choix des élites que nous voulons incorporer à
l’élaboration de notre Système et cela bien entendu selon un programme
pédagogique bien particulier : il sera distinct de notre plan initiatique !  
Nos adeptes ne doivent plus être limités aux seuls « grands hommes » que
nous fabriquons, cela dit en passant, mais étendue à l’ensemble des groupes
sociaux qui dominent la société par leur influence, leur charisme, leur
prestige, leur richesse, leur pouvoir politique, économique, moral ou
intellectuel !  
Il devenait nécessaire et urgent de mener une réflexion sur le recrutement
de nos adeptes, pour mieux connaître les conditions réelles de la dépendance
populaire. La qualité et le volume de nos adeptes constituent la clé de voûte
de la domination des peuples !
En effet, nos adeptes, je précise bien nos « adeptes » et non pas nos
agents, tel que nous les définissons aujourd’hui, correspondent à autant
d’élargissements de notre part. Les modalités d’entrée à nos
Universités, c’est à dire les qualités requises sont avant tout fondées
sur le parrainage, valeur suprême des sociétés secrètes et sur
l’appartenance à la classe dirigeante et riche !  
Le statut juridique et économique de nos Universités ou Écoles qui demandent
des finances considérables pour leur fonctionnement les placent dans une
position de supériorité éminente. Nous sommes bien loin de la misère
financière, des quelques pièces que nous allouons aux établissements publics
d’enseignement supérieur consacrés à la populace !
 Réelle, car l’enseignement dont ils bénéficient leur assurent
compétence et savoir. En effet, aussi longtemps que le préconise notre
Système, cette supériorité ne sera ni contestée ni mise en doute. Elle
trouve la justification de sa position dominante dans les rouages de la
gouvernance du monde : politique, économique, financier, intellectuel,
culturel, etc. Les principes de notre Système se transmettent, et nos
inclinations se diffusent de nos adeptes à leurs descendants !
L’enseignement que nos agents et adeptes prennent soin d’inculquer à ces
étudiants dont la condition existentielle des plus avantageuses contribue
beaucoup à ces sentiments généreux envers notre Système et qui élèvent
leur esprit au-dessus de ceux du commun de la populace ! […] »

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