Un discours de Gandhi prononcé en 1931 sur le rapport de pouvoir entre le travail et le capital. Ce n'est pas du Marx et c'est très simple à comprendre. Trois lettres suffisent en français.
A la minute même où les travailleurs comprennent que le choix leur est offert de dire oui quand ils pensent oui, et non quand ils pensent non, le travail devient le maître et le capital l'esclave.Mais je vais vous dire pourquoi le mouvement ouvrier, si souvent capitule. Au lieu de stériliser le capital, comme je l'ai suggéré en tant qu'ouvrier moi-même, il cherche à prendre possession du capital pour devenir capitaliste à son tour.Par conséquent, le capitalisme, soigneusement retranché dans ses positions et bien organisé, n'a pas besoin de s'inquiéter: il trouve dans le mouvement ouvrier les éléments qui soutiendront sa cause et seront prêts à le remplacer.Si nous n'étions fascinés par le capital, chaque homme et chaque femme comprendrait cette vérité essentielle.En complément, à revoir : Le syndrome du larbin
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vendredi 23 mars 2012
Gandhi. Le pouvoir de dire Non
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