dimanche 7 novembre 2010

Les malades sont des pyromanes


Cette fois c'est un témoignage très humain sur la relation médecin-malade et les choix que le malade fait ou ne fait pas, d'où la réflexion : "Les malades sont des pyromanes"
Cela parle aussi de l'alimentation comme vecteur principal de la santé et de l'intérêt économique bien compris des parties.

Ce qui m'étonne autant que l'auteure, c'est de voir qu'un quart des lecteurs (au moment où j'écris le billet) ne sont pas d'accord avec l'article. Alors comme elle le dit fort pertinemment à la fin :
Je comprends ce pauvre Galilée qui pleurait en sortant du tribunal qui l’avait condamné et disait de la terre « Et pourtant elle tourne ! »

Mais reprenons dans l'ordre

Mon médecin me dit que je ne guérirai pas, qu’on ne guérissait pas de ce genre de maladie, mais qu’il fallait arrêter le processus en prenant de la cortisone ou de nouveaux médicaments, plus forts.

J’ai donc pris mon ordi et j’ai cherché toute seule ce que je pouvais avoir.

La notion fondamentale de tout équilibre alimentaire est le bon mélange des acides et des bases.
Le gluten, tel que l’agro-alimentaire l’utilisait, en abondance, était un danger pour la paroi intestinale

Ce qui me frappe dans la médecine chimique c’est sa volonté d’ignorer les causes véritables d’un mal. [ ] alors que ce sont des désordres que nous avons favorisé pendant des années.

Si d’autres, qui sentent venir les raideurs de l’âge, comprennent que l’âge a moins à voir là-dedans qu’un mauvais entretien.


Vous trouverez le témoignage complet ici

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