Un aspect occulté de la vie des banlieues, la souffrance des garçons.
Quelques extraits
On a longtemps allumé les projecteurs sur la souffrance des filles des quartiers, pour certaines « oppressées », « enfermées », ou « insultées » ; et peu, voire pas du tout, sur celle des garçons. Pourtant la détresse est bien là.
La souffrance est présente et elle se manifeste par tous les moyens. L’expression la plus classique étant certainement la violence.
Le repli religieux pendant une dépression est habituel. D’une part il donne l’impression d’entrer dans une quête de savoir. Quête qui pourrait combler celle perdue après un échec scolaire ou professionnel. Mais aussi et surtout, la religion c’est quelque chose de gratuit. On entre gratuitement dans une église, une mosquée ou un temple.
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cette souffrance a débuté dès 1990 ....
RépondreSupprimerprésageant une bombe à retardement
nous y sommes