Dix jours, c'est court. Et pourtant le fait de faire une coupure totale avec le monde "moderne" est une bénédiction.
Le retour aux "informations" se fait rapidement, rien ne change et rien ne s'améliore. Les finances de la Grèce, la catastrophe de Fukushima, le "printemps arabe" qui n'en finit pas alors que nous sommes maintenant en été, la banquise qui fond plus vite que d'habitude etc... Rien ne va plus. Et c'est seulement ce qu'on nous laisse voir. La suite promet d'être passionnante. Un été très chaud certainement.
Heureusement, il y a le reste. Soi, l'Autre et... l'Espoir d'un monde meilleur.
On fera donc avec cela.
En attendant les prochains billets, vous pouvez écouter la chanson de Nino Ferrer. Elle me trotte dans la tête depuis plusieurs jours. Avec un peu de foi, en la faisant partager ici, je vais peut-être l'exorciser.
A demain.
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